Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
31 mai 2013 5 31 /05 /mai /2013 06:41

 

Face à la dette publique, qui atteint désormais 90 % du PIB, le gouvernement n’a pas d’autres choix que de lever de nouveaux impôts. Pour ne pas trop pénaliser l’économie, et face à des foyers asphyxiés, les pistes envisagées sont surprenantes !!

 

Exit tax

Sur le principe de « l’exit tax » pour les contribuables qui quittent la France pour profiter de pays à l’imposition plus clémente, le Ministère de l’Économie envisage d’élargir le système aux défunts.

 

Pierre Moscovici soutient en effet l’idée que la mort est une soustraction définitive à l’impôt qui peut être taxée.

Encore ce vautour !!

 

Le principe divise au plus haut sommet de l’État : si Matignon considère qu’à terme, des solutions aussi radicales et impopulaires que celle-ci devront êtres mises en œuvre, le Président de la République craint que cela ne fasse baisser encore plus sa côte de popularité. Une chose est sûre : cette « final exit tax » ne sera pas mise en œuvre avant les élections municipales de 2014.

 

La principale réticence de François Hollande est que cette taxe frappera tous les français, contrairement à ses mesures précédentes, qui visaient des catégories spécifiques, en dehors de son électorat traditionnel.


Le fait que le président a promis, lors de son allocution télévisée jeudi dernier, de ne pas soumettre les français à de nouveaux impôts est en revanche balayée de la main par ses conseillers : la mort physique correspondrait légalement à l’extinction de la nationalité.

 

Quelles sont les bouffons qui ont voté cette bande de  requin ??

 

L’Europe donne son accord

(NON SANS BLAGUE !!)

 

 

Consulté, le conseil européen a finalement donné son accord. Principale opposante au système, Angela Merkel s’est finalement laissé convaincre sous la pression de ses propres conseillers, qui lui ont fait remarquer que le remboursement de la dette hexagonale serait plus populaire en Allemagne si elle était faite par des français morts que des Allemands vivants.


Les allemands vont être contents

 

La BCE a dépêché un observateur, chargé d’établir un rapport sur la mesure. En cas de succès, le principe de la « final exit tax » pourrait être appliqué à d’autres pays de la zone euro, les plus en difficulté. (Chypre – Grèce – Espagne …. Les exemples ne manquent pas)

 

Reste bien sûr à définir précisément les contours de cette « final exit tax ». L’on sait d’ores et déjà qu’elle sera votée au mois d’aout, lors d’une cession exceptionnelle, dans la plus grande discrétion.

 

Les pistes envisagées

 

La première passe par une augmentation de la TVA sur les prestations funéraires obligatoires. La TVA sur le cercueil passerait ainsi à 38.7 %.


La seconde, une saisie forfaitaire de 50 % des liquidités disponibles sur les comptes du défunt.


La troisième piste consisterait à rendre payante la déclaration de décès. Un montant de 450 Euros, forfaitaire, a ainsi été envisagé, preuve que l’état des reflexions est bien avancé.

 

Une chose est sûre : l’argent des vivants ne suffira plus, désormais, à faire face à la crise de l’Euro.


Lors de la réunion de l’associations des Maires de France, une réunion secrète avait pour objet l’étude d’une taxe foncière pour les concessions de cimetière, et celle d’une taxe d’habitation étendue aux défunts, saisissable sur leur héritage.

 

MERCI A VOUS ET FAITES LEURS SAVOIR CITOYENS

 

Cette “Final exit tax”, combinée à la législation actuelle sur les successions, pourrait rapidement devenir l’impôt le plus lucratif de l’Etat.


Selon nos sources, cela pourrait accélérer la légalisation de l’euthanasie, dont François Hollande souhaite faire la toute première mesure symbolique de son second mandat, à l’été 2017.

 

Alors si pour 1 fois les citoyens français pouvaient s'unir pour mettre les choses au point mais ça c'est 1 autre histoire .....

 

J'en veux +

 

 

 


 

 

merci à Juju

 

Partager cet article
Repost0
30 mai 2013 4 30 /05 /mai /2013 06:42

 

 

La semaine dernière, The Economist a consacré un papier au salaire minimum, se demandant s’il en fallait un et si oui, à quel niveau il fallait le mettre. Une plongée glaçante dans la pensée néolibérale.

 

Les penseurs néolibéraux ont au moins un mérite. Ils osent tout.

L’économie n’est qu’une science abstraite faite de chiffres, totalement désincarnée et déshumanisée. C’est bien ce qui ressort de ce papier de la bible des élites mondialisées sur le salaire minimal. The Economist cite Milton Friedman, pour qui il est « une forme de discrimination contre les travailleurs sans qualification ». Qualifier de « discrimination » le fait d’empêcher de payer un salaire de misère en dit déjà long…

 

Mais l’hebdomadaire souligne que d’autres économistes affirment que quand les employeurs ont un fort pouvoir, ils peuvent fixer les salaires à un niveau trop faible, ce qui a poussé les gouvernements à instaurer un salaire minimal dans un nombre grandissant de pays.

 

La Nouvelle-Zélande a été la première en 1894, suivie par les États-Unis de Roosevelt en 1938, la Grande-Bretagne patientant jusqu’en 1999. Le SMIC étasunien, très bas, a été relevé de 40% depuis 2007.

 

Les économistes ont mené des études divergentes sur le niveau du salaire minimum aux États-Unis, du fait des différences entre États. Deux économistes ont démontré que les différences de niveau du salaire minimum n’ont pas d’impact sur le niveau de l’emploi dans la restauration entre 1990 et 2006 mais deux autres ont démontré l’inverse. En Grande-Bretagne, les études sont plutôt positives et soulignent un effet d’entraînement pour les salaires supérieurs au SMIC.

 

 

actu-Smic.jpg


     Ce qu’il y a de terrifiant dans ce papier, c’est son aspect clinique, froid et finalement inhumain. Aucune question n’est posée sur le niveau du seuil de pauvreté, ou même de l’évolution du salaire médian (qui baisse), base contre laquelle il faudrait fixer le SMIC.


Réfléchir à l’impact que tout cela a sur les travailleurs pauvres ne semble pas effleurer une seconde l’auteur du papier. La conclusion est glaçante : « Quels que soient leurs défauts, les salaires minimums vont persister ».

 

Il est difficile de ne pas y voir un regret de la part de The Economist, comme s’il indiquait qu’il n’était malheureusement pas possible politiquement de les supprimer… Mais le pire est à venir au sujet du niveau souhaitable du SMIC.


L’hebdomadaire néolibéral indique que pour l’OCDE et le FMI, « un salaire minimum modéré fait probablement plus de bien que de mal », avant de préciser que la définition d’un salaire minimum modéré signifie entre 30 et 40% du salaire médian.

 

The Economist reconnaît que le cas britannique (à 46% du salaire médian) démontre que l’on peut aller un peu plus haut. Les États-Unis et le Japon restent sous le cap des 40% alors que la France se distingue avec le niveau le plus élevé de la sélection avec un SMIC à 60% du salaire médian.

 

Bizarrement, pas d’information sur les pays scandinaves. En clair, pour The Economist, en France notre SMIC est trop élevé de 25 à 30% ! Cela veut dire qu’avec un SMIC à 1118 euros nets par mois, ils recommandent une baisse d’environ 300 euros. Voilà le fond de la pensée néolibérale…

 

Voilà sans doute pourquoi Pierre Moscovici valorise la miniscule hausse du SMIC de juin, pourtant trois fois moins importante que celle de Jacques Chirac en 1995.

 

On aimerait que les donneurs de leçon néolibéraux essaient de vivre ne serait-ce que quelques semaines avec le SMIC qu’ils recommandent…

 

Apres la fin des CDI  les salaires des patrons vont-ils baisser de 40% ??


SOYEZ PRETS DEMAIN A MANGER 1 BOL DE RIZ !!

 


j'en veux + 

 

L’information n’a de valeur que partagez


Partager cet article
Repost0
26 mai 2013 7 26 /05 /mai /2013 00:13

 

 

 

 

 

Mobile Acces

 

 

 

 

Mobile Acces

 

L’information n’a de valeur que partagez avec vos amis


Partager cet article
Repost0
23 mai 2013 4 23 /05 /mai /2013 06:52

 

 

 

Le Premier ministre britannique David Cameron a dénoncé un "'acte barbare", une "attaque épouvantable", "manifestement de nature terroriste". Un soldat a été tué à l'arme blanche mercredi 22 mai dans un quartier du sud-est de Londres. Une attaque commise par deux hommes qui ont ensuite été blessés par la police.

 

 

 

 

 

 

Les premiers témoignages et déclarations de la police laissent à penser que les deux suspects ont attaqué leur victime en début d'après-midi, à proximité de baraquements militaires à Woolwich.

En fin d'après-midi, la chaîne ITV a publié une photo extraite d'une vidéo amateur sur laquelle un jeune homme noir apparait, marchant dans la rue habillé d'un jean et d'un blouson et coiffé d'un bonnet, tenant à la main deux couteaux et un hachoir ensanglantés.

"Nous devons les combattre comme ils nous combattent. Oeil pour oeil, dent pour dent", a lancé l'homme au cameraman amateur. "Nous jurons par Allah le tout puissant que nous n'arrêterons jamais de vous combattre", a-t-il ajouté d'une voix posée, dans un anglais à l'accent londonien. "Je suis désolé que des femmes aient été témoins de ce qui s'est passé aujourd'hui, mais dans notre pays, nos femmes voient le même genre de choses", a encore dit le jeune homme.

"Pensez-vous que David Cameron va se faire attraper dans la rue quand nous allons commencer à sortir nos flingues? Vous pensez que vos politiciens vont mourir? Non, ce sera le gars lambda, comme vous ou vos enfants. Donc, débarrassez-vous d'eux. Dites-leur de ramener leurs soldats à la maison pour que vous puissiez tous vivre en paix", a-t-il encore livré à la caméra.

 

J'en veux  + 

Partager cet article
Repost0
23 mai 2013 4 23 /05 /mai /2013 01:36

 

 

 

 

 

 

 

Soyez acteurs concrètement !

Avec seulement 1 partage  (soit 30 sec. de votre temps précieux pour faire comprendre l’importance), vous serez chacun à l'origine dans 3 mois d' 1 million de mails ou personnes averties !! soit 48 millions en 6 mois !!

Mobile Acces

 

Partager cet article
Repost0
21 mai 2013 2 21 /05 /mai /2013 01:47

 

 

«On paie les gars qui nous tirent dessus», constate Christophe Guilloteau, député UMP, en révélant que l’armée française a mis la main sur des documents de Pôle Emploi dans les caches des islamistes au nord du Mali.


 

islamiste-mali-charia.jpg

 


«Vous savez ce que nos soldats ont découvert dans les caches des islamistes, au beau milieu du massif des Ifoghas, dans le nord du Mali?» demande Christophe Guilloteau, député UMP et surtout membre de la Commission de défense de l’Assemblée nationale, sourire en coin.

«Peut-être les fusils, les missiles sol-air ou encore les mortiers que la France avait généreusement distribués en 2011 aux insurgés libyens pour détrôner Mouammar Kadhafi», lui répondons-nous.

«C’est le cas, sourit Christophe Guilloteau. Mais ce n’est pas tout. En fait, ils sont tombés sur des circulaires vierges de Pôle Emploi dans les caches des islamistes.


Vous vous imaginez. Des chômeurs français, des gens qui recevaient de l’argent de l’Etat français en face de nos propres hommes. On paie des gars qui nous tirent dessus.» Un comble qui ne fait sourire personne à Paris. ….

 

Document complet

 

Soyez acteurs concrètement !

 

1 partage = 30 secondes  de votre temps précieux pour faire connaitre la vérité

 

Grace à votre soutien dans 3 mois d' 1 million de personnes seront averties !!


Soit 48 millions en 6 mois !!

 

merci à ToNtOn IKKI


Partager cet article
Repost0
20 mai 2013 1 20 /05 /mai /2013 21:26

 

Le document que l’humanite.fr s’est procuré, datant du 12 mars, est actuellement discuté par les Parlementaires européens et les gouvernements nationaux. c'est une base de négociation sur l’accord de libre-échange transatlantique, déjà passé en commission au Parlement, et ses amendements seront votés ce jeudi 23 mai. S’il était adopté, cet accord frapperait tous les pans de la société européenne. 

La base de travail pour l'accord de libre-échange transatlantique que l’humanite.fr s’est procuré et que nous publions est clair : José Manuel Barroso, le Président de la Commission européenne, est prêt à satisfaire les envies des Etats-Unis de renforcer leur présence économique et commerciale sur le continent européen.

Barack Obama a donné son feu vert à cet accord dans son discours sur l’état de l’Union en février, et le 12 mars, la Commission faisait circuler le projet de texte.

 

libre-echange-transatlantique.jpg


Actuellement soumis au Parlement européen, qui l’amende, avant d’être présenté aux 27 chefs d’Etats et de gouvernements (le Conseil européen), ce projet souligne les potentialités d’un accord entre l’UE et les Etats-Unis en matière de développement économique.

La Commission annonce des gains économiques significatifs : de 119,2 milliards de dollars pour l’UE et de 94,2 milliards de dollars pour les Etats-Unis… à condition d’éliminer toutes les « entraves » au libre-échange, barrières non tarifaires pour commencer (voir notamment page 7, point 9).

Ce projet comporte donc aussi, et surtout, de nombreux risques. Tout d’abord, pour qu’il y ait accord, les Européens devront renoncer à un grand nombre de leurs normes (juridiques, environnementales, sanitaires, culturelles…).

Ensuite, les standards invoqués sont ceux de l’Organisation mondiale du commerce. En réalité, une bataille se joue actuellement à ce niveau. Les Etats-Unis sont, dans le même temps, engagés dans des négociations de partenariat transpacifique en vue de conclure un accord de libre-échange.

Quel est l’objectif ? « S’assurer que le capitalisme version occidentale reste la norme mondiale et pas le capitalisme d’Etat chinois », comme l’a indiqué Bruce Stokes, du German Marshall Fund of the United States. Autrement dit : imposer leurs normes aux dépens des règles européennes jugées trop contraignantes (voir notamment pages 10-11, point 18).

Des cadres juridiques, sanitaires, environnementaux… jusqu’au droit du travail, par « ricochet », c’est tous les pans de la société européenne qui sont visés.

Signe des temps, alors qu’au Parlement européen, les débats sont vifs sur cet accord, le 16 mai, des organisations d’entreprises européennes se sont associées à l’European Business Summit pour demander instamment la mise en place du Partenariat transatlantique de commerce et d’investissement.

 

J'en veux +

 

Partager cet article
Repost0
17 mai 2013 5 17 /05 /mai /2013 13:10

 

 

L'Elysée a décidé d'attribuer une partie des fréquences de la télévision hertzienne dans la bande des 700 MHz aux télécommunications, au détriment du développement de la TNT, espérant récolter quelque 3 milliards d'euros qui iraient aux besoins de la défense, indiquent vendredi Les Echos. Des enchères pour proposer ces nouvelles fréquences aux opérateurs télécoms pourraient être organisées vers 2016, précise le quotidien.

La décision de principe de transférer la bande de fréquence des 700 MHz de l'audiovisuel vers les opérateurs télécoms a été prise par la présidence de la République, selon le quotidien des affaires qui ne cite pas ses sources. Elle serait dictée par le besoin de trouver des ressources pour financer la Défense, 5,9 milliards d'euros étant nécessaires pour boucler le budget jusqu'en 2019. Personne n'aurait été mis au courant, ni le CSA, ni le ministère de la Culture et de la communication, ni Matignon.

 

tnt-gif.jpg

 

Les éditeurs de chaînes sur la télévision numérique terrestre (TNT) sont inquiets de cet arbitrage qui freinerait leur développement, en empêchant notamment leur évolution vers la haute définition.

Les opérateurs télécoms, eux, se serviraient de ces nouveaux blocs de fréquences pour déployer la 4G sur le territoire. Ces fréquences seraient notamment bien adaptées à la couverture des zones peu denses et pour faire entrer la 4G à l'intérieur des bâtiments.

Selon une source à Bercy citée par Le Monde, "les modalités de cette bascule, le calendrier, le montant des redevances restent à définir. Les opérateurs vont être reçus les uns après les autres". Ces derniers pourraient avoir du mal à trouver d'ici à trois ans l'argent nécessaire pour les enchères, étant donné le recul de leurs chiffres d'affaires.

 

J'en veux + 

Partager cet article
Repost0
9 mai 2013 4 09 /05 /mai /2013 10:31

 

Briey. Nous sommes dans l’inimaginable. Et nous avons envie de pleurer en pensant à cet enfant. » Les mots de Me Mallet sont suivis d’un silence de plusieurs secondes. Le laps de temps nécessaire à l’avocat de la partie civile pour reprendre son souffle et sa plaidoirie.


Dans le viseur, Aurore Willemin : hier, à Briey, cette jeune femme originaire de la Meuse a été condamnée à cinq ans de prison, assortis d’un mandat de dépôt. Le tribunal l’a reconnue coupable de violence envers son propre garçon. Ou la conclusion d’une « affaire hors norme », comme l’a souligné la procureure, Amélie Kihl. Les faits ? Les premiers remontent au mois de septembre 2004.

Le petit Lucas (*) a 8 mois lorsque sa mère l’amène aux urgences de l’hôpital, à Briey.

 

« Il est alors en état de coma post-traumatique et présente les symptômes du bébé secoué », note le président du tribunal, Thierry Grandame. L’explication de sa mère, « une chute de canapé », ne tient pas la route. Lucas est transféré au CHU de Nancy et « immédiatement, l’établissement adresse un signalement au procureur de la République. » Cela ne suffira pas à empêcher l’innommable.

 

Hier, le tribunal s’est déclaré « incompétent » pour se prononcer sur ce premier pan de l’histoire, la maman, 26 ans aujourd’hui, étant encore mineure à l’époque. Ce qui n’était plus le cas en mai 2006 : Aurore Willemin avait passé le cap de la majorité lorsqu’elle a entaillé le sexe de son garçon avec une paire de ciseau, sous le toit de son domicile, à Jœuf.


Absente, hier, la prévenue n’a pas pu éclairer ses actes, pas plus qu’elle ne l’a fait lors des auditions. C’est l’enfant lui-même qui avait permis de mettre au jour les tortures dont il faisait l’objet. Placé en foyer, il avait confié à une éducatrice que « sa maman lui avait coupé le zizi avec un gros ciseau. » Ce dont la justice a fini par ne plus douter, allant au-delà même des réquisitions du ministère public, qui réclamait trois ans de prison dont dix mois avec sursis.

 

Aurore Willemin passera cinq ans derrière les barreaux. Dépeinte comme une personnalité impulsive, dans le rapport psychiatrique évoqué hier, elle affichait aussi « une absence totale d’empathie vis-à-vis de son enfant. Elle est dans le déni de toute responsabilité. »

Dans ses dépositions, elle avait mis en cause certains des compagnons qui avaient jalonné sa vie amoureuse. Et notamment celui qui partageait son quotidien en mai 2006, contre lequel elle finira par déposer plainte… deux ans plus tard, en 2008.

 

La procureure précisera que la propre sœur d’Aurore Willemin, qui habitait dans le même immeuble, avait indiqué que la prévenue « était seule au moment des faits. Elle était venue la voir en lui disant que son petit s’était fait mal au zizi. » Lorsque les sœurs étaient redescendues, « le bébé hurlait de douleur. » Sa couche était ensanglantée.

 

J'en veux + 

Partager cet article
Repost0
30 avril 2013 2 30 /04 /avril /2013 02:23

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Faites plaisirs à vos amis - partagez vos découvertes

 

Mobile Acces    Mobile Acces

 

 

Partager cet article
Repost0

  • : Le blog de savoircomprendre
  • : ce blog a pour objectif de permettres a chacun de passer 1 moment agreable et de revenir puisser regulierement des infos diverses pour son plaisir
  • Contact

Google-Translate-English to French Traduire français en Arabic Google-Translate-Chinese (Simplified) BETA Traduire français en Arabic Traduire français en Arabic Traduire français en Croatian Traduire français en Czech Traduire français en danish Traduire français en Finnish Traduire français en German Traduire français en Greek Traduire français en Hindi  Traduire français en Italian Google-Translate-English to Japanese BETA Traduire français en Korean BETA Traduire français en Norwegian Traduire français en Polish Traduire français en Portuguese Traduire français en Romanian Traduire français en Russian Traduire français en Russian BETA Traduire français en Spanish Traduire français en Swedish

L' Article Que Vous Cherchez

google+  facebook  twitter  rss

Vieux Et Bon